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Disciplines des courses de chevaux

Il existe différentes disciplines pour les pronostics dans les courses hippiques :

Le Trot

L’appartement

L’Obstacle

A l’occasion d’un événement équestre, un meeting est organisé entre 7 et 9 courses, avec un départ toutes les demi-heures.

Verdict final

La prédiction pour QuintéMagic a été développée pour les admirateurs de course. Nous examinons la quantité massive de détails et de statistiques de base des courses QuintéMagic passées pour construire le parcours d’aujourd’hui. Les experts sont compétents pour apprendre la classe, la forme de l’entraîneur, les numéros gagnants et les données avancées pertinentes sur l’équitation.

 

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Toulouse Awards et prédiction de nombres.

Les systèmes mécaniques et électromécaniques

En 1913, G. Julius met au point le premier totalisateur automatique au monde à Auckland avec trente terminaux. Plus tard, il fonde la société Australienne A.T.L (Automatic Totalisator Limited). Le totalisateur est principalement constitué d’unités électromécaniques additionneur-compteur-afficheur, à raison d’une unité par cheval et par pari, capables de cumuler chacune plusieurs centaines de mises à la seconde. Un additionneur met en œuvre un ou plusieurs axes dotés de trains d’engrenages coniques épicycliques mus par des ressorts hélicoïdaux. Le mouvement de ces engrenages est déclenché par des roues à échappement, leur commande électromagnétique est excitée, via un scanner électro-mécanique, par la sélection d’un numéro de cheval sur l’un des terminaux de vente. En 1928, ATL déploie son totalisateur sur l’hippodrome de Longchamp. Avec 270 terminaux, c’était le site le plus important jamais automatisé. Les terminaux ATL, qui jusqu’alors ne pouvaient prendre qu’un type de pari par guichet, ont été adaptés pour vendre des tickets Gagnant ou Placé sur la même machine. Développés par ATL, ils ont été fabriqués en France sous son contrôle.

1930 - Le PMU

Depuis la loi du  autorisant le pari mutuel, on ne peut parier sur les courses de chevaux que sur les hippodromes. Ceux qui ne peuvent s’y rendre sont placés devant l’alternative : ou s’abstenir, ou confier leurs paris à des « bookmakers » agissant illégalement. Le prospère commerce des paris clandestins, dont la répression s’avère difficile, ne fait pas l’affaire des sociétés de courses organisatrices, ni de l’État, tous deux privés d’importants revenus leur échappant. Et cette situation inquiète plus que jamais un milieu agricole directement concerné, celui de l’élevage, destinataire d’une part des prélèvements sur les paris. On s’accorde enfin pour combattre les clandestins, le meilleur moyen étant de les concurrencer sur leur propre terrain, c’est-à-dire en ville. Le débat est ouvert au printemps 1930. Faut-il permettre l’enregistrement des paris sur les courses en dehors des hippodromes ?

PMU et les courses

La consultation de volumes du Sport Universel Illustré, ancêtre de L'Équipe, nous apprend que jusqu'aux années 1900, ce qui correspond à peu près à la montée en puissance des sports olympiques (dont la première célébration sera organisée à Athènes en 1896), et jusque dans l’entre-deux-guerres, l'hippisme était le sport par excellence. Un sport bourgeois, certes, au même titre que la chasse ou la voile par exemple, mais public : on ne concevait plus d'organiser des courses à huis clos. Le public, et le jeu, accompagnaient immanquablement les manifestations de ce type. Le produit des prélèvements sur les enjeux (notamment au pari mutuel) permet de financer toute la filière. La rétribution des courses permet à des propriétaires modestes d'espérer rentabiliser leur investissement, au moins de percevoir une partie de leur investissement. Sans ces allocations, tous les bons chevaux seraient concentrés dans les mains de quelques écuries super puissantes.

Trot et galop : un monde de différences

En France, le programme des courses est réparti entre deux disciplines très différentes l'une de l'autre : le trot et le galop. Chaque allure a sa tradition, son monde et ses règles propres.

Le galop a précédé le trot dans les annales de l'hippisme parce qu'il allait de soi : un cheval atteint le maximum de sa vitesse au grand galop, une allure naturelle qui lui permettait, à l'état sauvage, d'échapper à ses prédateurs. Lorsqu'au xviiie siècle, les Anglais se sont les premiers concentrés sur un élevage spécifique à la course au galop, en croisant des pur-sang arabes, des barbes et des étalons orientaux à des juments désignées pour cette activité par leurs qualités propres, ils ont créé le pur sang (le Thoroughbred, dont la traduction la plus exacte est « élevé dans les règles »), la race la plus rapide au monde.